la feuille volante

conversations après un enterrement

N°1897 – Juin 2024.

Conversations après un enterrement – Yasmina Reza – Albin Michel.

Simon Weinberg vient de mourir, il est enterré selon son souhait dans sa propriété familiale du Loiret. A cette occasion sa famille se retrouve, ses deux fils Nathan et Alex, sa fille Édith. Ils ont tous la quarantaine, son frère Pierre et sa femme Julienne sont plus âgés. Il y a même Élisa, l’ex maîtresse d’Alex qui est aussi amoureuse de Nathan. En ouvrant ce livre j’avais l’impression de devoir assister à des conversations ordinaires sur le défunt à qui on trouve subitement toutes les qualités qu’on lui contestait de son vivant, des choses qu’on dit et qu’on ne pense pas… Rien de tout cela, on rit beaucoup ce qui n’est pas mal, à peine quelques allusions furtives au défunt, un retour sur le passé comme un exorcisme, une évocation du présent dans tout ce qu’il a de plus quotidien et banal comme éplucher des légumes, un huit-clos familial où chacun parle mais aussi se tait et cultive ses non-dits, ses secrets et ses rancœurs et Élisa qui n’en finit pas de partir … et de revenir ! Je ressors de cette lecture pourtant attentive avec une impression d’incompréhension et peut-être même de déception par rapport à la première approche que j’avais eue de cette auteure avec sa pièce intitulée « Art ». Mais, je n’ai peut-être rien compris.

N°1897 – Juin 2024.

Conversations après un enterrement – Yasmina Reza – Albin Michel.

Simon Weinberg vient de mourir, il est enterré selon son souhait dans sa propriété familiale du Loiret. A cette occasion sa famille se retrouve, ses deux fils Nathan et Alex, sa fille Édith. Ils ont tous la quarantaine, son frère Pierre et sa femme Julienne sont plus âgés. Il y a même Élisa, l’ex maîtresse d’Alex qui est aussi amoureuse de Nathan. En ouvrant ce livre j’avais l’impression de devoir assister à des conversations ordinaires sur le défunt à qui on trouve subitement toutes les qualités qu’on lui contestait de son vivant, des choses qu’on dit et qu’on ne pense pas… Rien de tout cela, on rit beaucoup ce qui n’est pas mal, à peine quelques allusions furtives au défunt, un retour sur le passé comme un exorcisme, une évocation du présent dans tout ce qu’il a de plus quotidien et banal comme éplucher des légumes, un huit-clos familial où chacun parle mais aussi se tait et cultive ses non-dits, ses secrets et ses rancœurs et Élisa qui n’en finit pas de partir … et de revenir ! Je ressors de cette lecture pourtant attentive avec une impression d’incompréhension et peut-être même de déception par rapport à la première approche que j’avais eue de cette auteure avec sa pièce intitulée « Art ». Mais, je n’ai peut-être rien compris.

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