Marco Malvaldi
-
La briscola à cinq
- Par hervegautier
- Le 26/03/2022
- Dans Marco Malvaldi
- 0 commentaire
N°1633 - Mars 2022
La bricscola à cinq – Marco Malvaldi- Christian Bourgois éditeur.
Traduit de l’italien par Nathalie Bauer.
Dans un petit village de Toscane, le cadavre d’une jeune fille, Aline, vient d’être découvert dans une poubelle et bien entendu l’enquête policière s’oriente vers ses amis. Ici tout le monde se connaît et bien entendu cet événement déclenche les commentaires, surtout dans le bar de Massimo, où un bande de papys s’y retrouvent régulièrement pour taper le carton, la briscola. Ils sont diserts sur tout ce qui concerne ce village et le patron de ce bistrot se trouve malgré lui impliqué dans ces investigations et se montrera plus efficace que « l’illustrissime commissaire Fusco », arrogant et suffisant, qui brille depuis longtemps par son incompétence et n’est capable que d’arrêter la mauvaise personne. Avec l’aide du Dr Carli, Massimo, simple barman, certes très au-dessus de la moyenne, se montre plus observateur et raisonneur et donc efficace que notre flic, même si son témoignage désigne une personne sans pouvoir apporter la moindre preuve ni le moindre alibi.
Dans cette enquête, il n’y a pas de commissaire emblématique comme dans les autres polars, on croise de jolies femmes aux appas avantageux, des vieillards radoteurs qui sont au bar dans le seul but de refaire le monde et d’échapper à leur femmes, des flics caricaturés à l’excès et un brave barman qui accepte de remettre en question les choses les mieux admises jusque et y compris en bouleversant ses certitudes. C’est plaisant, délassant, pas très sérieux mais d’une lecture agréable quand même.
-
La briscola à cinq
- Par hervegautier
- Le 26/03/2022
- Dans Marco Malvaldi
- 0 commentaire
N°1633 - Mars 2022
La bricscola à cinq – Marco Malvaldi- Christian Bourgois éditeur.
Traduit de l’italien par Nathalie Bauer.
Dans un petit village de Toscane, le cadavre d’une jeune fille, Aline, vient d’être découvert dans une poubelle et bien entendu l’enquête policière s’oriente vers ses amis. Ici tout le monde se connaît et bien entendu cet événement déclenche les commentaires, surtout dans le bar de Massimo, où un bande de papys s’y retrouvent régulièrement pour taper le carton, la briscola. Ils sont diserts sur tout ce qui concerne ce village et le patron de ce bistrot se trouve malgré lui impliqué dans ces investigations et se montrera plus efficace que « l’illustrissime commissaire Fusco », arrogant et suffisant, qui brille depuis longtemps par son incompétence et n’est capable que d’arrêter la mauvaise personne. Avec l’aide du Dr Carli, Massimo, simple barman, certes très au-dessus de la moyenne, se montre plus observateur et raisonneur et donc efficace que notre flic, même si son témoignage désigne une personne sans pouvoir apporter la moindre preuve ni le moindre alibi.
Dans cette enquête, il n’y a pas de commissaire emblématique comme dans les autres polars, on croise de jolies femmes aux appas avantageux, des vieillards radoteurs qui sont au bar dans le seul but de refaire le monde et d’échapper à leur femmes, des flics caricaturés à l’excès et un brave barman qui accepte de remettre en question les choses les mieux admises jusque et y compris en bouleversant ses certitudes. C’est plaisant, délassant, pas très sérieux mais d’une lecture agréable quand même.