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la feuille volante

Fabio Bussotti

  • La ragazza di Hopper

    N°1875– Mai 2024.

     

    La ragazza di Hopper - Fabio Bussotti – Mincione Edizioni.

     

    Un giallo classico. Nel settembre 2020 in una camera di un albergo di Roma, una bella et giovane cameriera rumena, Nora Rednic, è stata strangolata. I poliziotti l’hanno trovata semi nuda. Gli altri dipendenti non la conoscevano bene tranne Marisól, un altra cameriera peruviana. Lei riferisce ai poliziotti che Nora, benché sia una semplice impiegata, era colta, parlava molte lingue e leggeva molti libri ma non era felice . Suo marito, un monumentale muratore rumeno, la picchiava. Nora le confidava che iI suo matrimonio e stato un errore. Era triste e depressiva. Il commissario Bertone e la sua squadra sono incaricati del caso. Hanno trovato una lettera d’amore anonima, scritta in italiano e in spagnolo. L’inchiesta si presentava molto complicata con un marito violento, instabile e ladro , una duchessa vecchia e ricca,un strano cuoco peruvianno, un arresto violento del marito di Nora . Una multitudine di personnagi che fanno un po’smarirsi il lettore. Tutto questo durante la pandemia di Covid e le difficoltà del commissario Bertone con l’alcol. L’ispettore Pizzo, un collaboratore di Bertone, in vacanza con sua moglie a Madrid, ha visitato il museo Thyssen-Bornemisza dove c’é il quadro,« Room Hotel », di Edward Hopper,un pittore américano molto connosciuto, morto nel 1983. Il quadro gli ricordava l’arredo della camera dell’ hotel di Roma, con la morta sul letto. Il commissario racconta il crimine a Mafalda Moraes, la sua torrida amante, direttrice del Withney Museum a New York e critica d’arte, di cui aveva l’impressione di essere in un dipinto di Hopper. .A partire da quella impressione, Mafalda si ricorda che Hopper aveva rilasciato un’ intervista a un giornalista irlandese, negli anni 60, il quale, parlando con Jo, la moglie di Hopper, gli aveva appreso come suo marito dipingeva . Per esempio lui aveva dipinto una ragazza, seduta in un cinema di notte a Brodway. Lui et Jo, giocando, l’avevano chiamata Nora é avevano deciso che era una cameriera colta che faceca il turno di notte in un hotel di Manhattan. Poco dopo, Hopper aveva letto in un ritaglio di un giornale che una cameriera era stata trovata stragolata, di notte, a l’ultimo piano di un un hotel di Manhattan. Il cadavere era stato scoperto da una cameriera che aveva dichiarato che la sua collega, trovata morta, il cui marito era un ex pugile, era una donna stupenda, colta, che leggeva molti libri e aveva l’abitudine di vedere film a Brodway. Quella ragazza se chiamava Nora. Una coincidenza straordinaria ! Hopper dipingeva un altro quadro rappresente una stanza vuota con un raggio di sole, ma senza ragazza perché morta. Jo diceva che suo marito non poteva dipingere un personnagio senza conocerne la vita, le speranze, la storia, o immaginarla… Hopper è il pittore della solitudine rapresentata attraverso le donne.

    I quadi di Edward Hopper mi piacciono molto e li ho rivisti con piacere. Ritrovarsi in uno dei sui quadri dev’ essere una sensazione eccezionale.

     

    La Jeune fille de Hopper – Fabio Bussoti- Mincione Edizioni.

     

    Un roman policier classique .

    En septembre 2020, dans une chambre d’hôtel de Rome, une belle et jeune femme de chambre roumaine, Nora Rednic,a été étranglée. Les policiers l’ont trouvée à demi-nue. Les autres employés ne la connaissaient pas bien, à l’exception de Marsól, une autre femme de chambre péruvienne qui déclare aux policiers que, bien que Nora soit une simple, elle était cultivée, parlait plusieurs langues, lisait beaucoup de livres mais n’était pas heureuse. Son mari, un impressionnant maçon roumain, la battait. Nora lui confiait que son mariage a été un erreur. Elle était triste et dépressive.

    Le commissaire Bertone et son équipe sont chargés de cette affaire. Ils sont trouvé une lettre d’amour anonyme, écrite en italien et en espagnol. L’enquête se présentait comme très compliquée avec un mari violent instable et voleur, une duchesse vieille et riche, un étrange cuisinier péruvien, une arrestation violente du mari de Nora. Une multitude de personnages qui égarent un peu le lecteur, le tout pendant la pandémie de Covid et les problèmes d’alcool du commissaire.

    L’inspecteur Pizzo, un collaborateur de Bertone, en vacance avec sa femme à Madrid a visité le musée Thyssen-Bornemisza où il y a un tableau baptisé « Room Hotel », de Edward Hopper, un peintre américain très connu , mort en 1983 . Le tableau lui rappelle l’ameublement de la chambre de l’hôtel à Rome, avec la morte sur le lit. Le commissaire raconte le crime à Mafalda Moraes, son amante torride qui est aussi directrice du Withney Museum à New York et également critique d’art laquelle a l’impression d’être dans un tableau de Hopper. A partir de cette impression, Mafalda se souvient que Hopper avait accordé une interview à un journaliste irlandais, dans les années 60, lequel, parlant avec Jo, l’épouse de Hopper lui avait appris comment son mari peignait. Par exemple, il avait peint une jeune femme, assise dans un cinéma, la nuit à Brodway. Lui et Jo, par jeu, l’avaient appelée Nora et avaient décidé qu’elle était une femme de chambre cultivée qui travaillait dans une équipe la nuit dans un hôtel de Manhattan. Un peu plus tard, Hopper avait lu dans un entrefilet de journal qu’une femme de chambre avait été trouvée étranglée,la nuit, au dernier étage d’un hôtel de Manhattan. Le cadavre avait été découvert par une femme de chambre qui avait déclaré que sa collègue trouvée morte et dont le mari était un ex-boxeur, était une femme extraordinaire, qui lisait beaucoup et avait l’habitude d’aller voir des films à Brodway. Cette jeune fille s’appelait Nora. Une coïncidence extraordinaire !

    Hopper peignit un autre tableau représentant une chambre vide avec un rayon de soleil mais la jeune fille parce qu’elle était morte. Jo disait que son mari ne pouvait pas peindre un personnage sans en connaître la vie, les espoirs , l’histoire, ou l’imaginer… Hopper est le peintre de la solitude représentée par les femmes.

    Les tableaux de Hopper me plaisent beaucoup et je les ai ai revus avec plaisir. Se retrouver dans un de ses tableaux doit être une sensation exceptionnelle.

     

     

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